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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je n’ai jamais été attirée ni fascinée par les chattes.
La mienne, je la voyais comme un simple trou à l’usage des hommes.
Pas spécialement esthétique.
Mais que je leur offrais volontiers s’ils souhaitaient l’utliser.
Pour la cravacher, la munir de pinces, la fouiller.
Avant de la défoncer.
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Longtemps, je la considérais comme un orifice « vanille ».
Puisque c’est celui qu’utilisent les gens « normaux ».
C’était l’époque où je me faisais baiser.
Parce que je refusais qu’on me « fasse l’amour ».
A cause de ce mot, amour, qui me faisait peur.
Que je ne me sentais pas de jamais prononcer.
Pas plus que les mecs avec qui je couchais.
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C’est toi qui m’en a fait comprendre le sens.
En me faisant découvrir ce que ce pouvait être pour un homme de faire l’amour à une femme.
Qui ne consiste pas seulement à la baiser.
Mais à s’occuper d’elle, de son plaisir à elle.
En le faisant passer avant le sien.
Tu m’as appris aussi que ma chatte pouvait ne pas être qu’un trou.
Et qu’une queue, fût-elle raide,
ce pouvait être tendre aussi.
Et fait découvrir le vertige de jouir de ta bouche,
de ta langue, de tes doigts.
À mouiller sous tes caresses
pour mieux m’ouvrir à toi.
Les autres, avant toi, ne pratiquaient pas le cunnilingus.
Parce qu'un Mâle ne bouffe pas la chatte d’une salope.
Et encore moins sa mouille.
Tu m'as de même appris à te chevaucher.
Contre tous les usages, qui veulent que position de la soumise, ce soit « sous l'homme ».
Parce que ce n’est pas elle de contrôler son plaisir à lui.
Ni à décider de son rythme.
En jouant de son sexe pour le lui imposer.
Au début, j'avais du mal.
Mais j'y ai pris goût.
Parce qu'avec toi, j’ai appris qu’une chatte
ça n’a pas qu’un usage « vanille ».
Que faire l’amour ce n’est pas seulement baiser
mais une complicité, une fusion des corps et des esprits.
Que tu pouvais être tout à la fois mon Maître
et le plus merveilleux des amants.
Et aussi que me faire l'amour ne remettait pas en cause ta virilité.
Que nous pouvions être égaux dans le plaisir,
pas seulement le tien ni le mien,
mais bien le nôtre.
Alors, j’ai appris à t’aimer en retour.
Et pas uniquement pour ta queue :smile:.
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J’aime toujours autant ta queue.
Que tu me baises comme une pute, une salope, une chienne.
Et je demeurerai toujours ton esclave,
Puisque c’est ce que j’ai voulu être.
Mais j’aime tout autant quand tu me fais l’amour 😀
Parce que si tu m'as donné envie d'explorer le monde avec toi.
j’apprécie aussi les voyages que l’on fait en chambre.
Alors malgré toutes les positions que nous avons déjà expérimentées ensemble,
je fais confiance à ta créativité
pour continuer de découvrir ensemble nos corps et nos désirs.
En continuant de me faire rêver de nos voyages à venir.:smile:
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J’aime sucer mon Maître.
Peut-être parce que de toutes les manières de le faire jouir, c’est celle qui m’est toujours apparue comme la plus ambiguë.
J’aime le sucer pour le sentiment d’humiliation désirée que je ressens à m’agenouiller devant son membre viril, puisque c’est à genoux que je procède le plus souvent.
Et aussi pour lui témoigner le respect, la vénération que je lui voue, à lui et à sa queue.
En même temps, le sucer, c’est aussi une façon de prendre le pouvoir sur lui, de contrôler son plaisir.
Avec le sentiment que sa jouissance ne dépend plus que de moi, de la manière dont je le suce, du rythme que je donne à la fellation.
L’inverse en somme de ce qui se passe en temps normal, quand c’est lui qui « m’impose » son désir.
Même si je sais qu’il peut reprendre la main a tout moment 😀.
Et me faire re-basculer dans un fonctionnement plus « normal ».
Où il m’impose son rythme à lui.
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J’aime prendre mon temps quand je le suce.
Profiter de son sexe,
Commencer par le sentir, humer son odeur.
Lécher ses couilles, les prendre en bouche.
Parcourir sa bite avec ma langue.
Puis remonter le long de sa queue, le regard levé vers lui.
Insister sur son gland, goûter à sa mouille.
Et finalement avaler jusqu’au bout sa bite raide, dure.
La prendre au fond de ma gorge, quitte parfois m’interrompre pour revenir à son gland.
Pour éviter qu'il ne jouisse trop vite.
Pour en profiter, encore et encore.
Lui laissant le choix quand même de s’abandonner jusqu’au bout pour jouir de mes caresses.
Ou au contraire de me priver du plaisir de le boire, parce qu’il aura décidé de passer à un autre de mes orifices pour exercer ses prérogatives de Mâle.
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Mais si j’aime prendre mon temps, parfois le désir, le sien, le mien est trop pressant.
Et il arrive que le temps manque, que les circonstances, le lieu ne soient pas appropriés.
Me servir de ma bouche devient alors un moyen commode de le satisfaire.
Cela donne des endroits parfois étranges, une cage d'ascenseur, un parking sombre, des toilettes de restaurant ou d’aires de repos.
Ou des postures acrobatiques dans la voiture 😀.
J’aime tout autant cette façon de le faire jouir.
A la manière d’une pute, de ces filles auxquels certains ont recours, payées quelques dizaines d’euros pour permettre aux Mâles de se soulager vite fait.
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Ma bouche est un point de passage obligé.
Mais c’est toujours lui qui décide à la fin.
Où et comment il entend jouir de moi.
Et s’il lui plaît parfois de s’abandonner jusqu’au bout.
pour se vider dans ma bouche en me laissant le boire jusqu’à la dernière goutte.,
à d’autres moments, il préfère finir de jouir ailleurs, autrement.
C’est aussi son privilège de Mâle.
Qu’il ne sera jamais question pour moi de contester 😀.
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Mon mec/Maître fait partie des 34% de mâles qui préfèrent les « passages étroits », pourcentage légèrement inférieur à celui des adeptes des plaisirs buccaux (selon un sondage que j’avais posté il y a quelques temps déjà).
N’en déplaise à certaines, ça ne me gêne pas.
Évidemment, ça génère quelques contraintes, une hygiène parfaite me concernant et que l’instrument dont il se sert soit suffisamment dur, raide pour ce faire.
La première n’est qu’affaire de discipline, à laquelle je me plie volontiers.
Quant à la seconde, ça n’a jamais été un problème.
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La sodomie, longtemps le propre (en théorie :smile:) des invertis, a toujours eu une réputation sulfureuse.
Interdite par l'Eglise, qui acceptait la procréation tout en rejetant le plaisir, elle était passible du bûcher au temps de l'Inquisition.
Aujourd'hui preuve éclatante, pour les néo-féministes, de la brutalité de l'oppression masculine et démonstration évidente de l'égoïsme absolu des hommes, elle ne vaut cependant plus dans nos sociétés dites civilisées condamnation à celui-ci.
Alors, retour à l'ancienne coutume d'Orléans (1260, « celui qui est sodomite prouvé doit perdre les couilles »), la castration pour ceux qui la pratiquent ?
Pour vous, Messieurs, comme pour moi, j’ose espérer que non :smile:.
Parce que j'aime la brutalité des Mâles (de l'un d'entre eux tout du moins) et qu'il ne me déplaît pas qu'il me prenne ainsi.
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Mais, même en cas d’usage régulier, l'orifice utilisé pour ce faire n’étant pas prévu à l'origine pour cela, il reste plus étroit, moins souple que les autres.
Ce qui rend la pénétration douloureuse au départ, en dépit de la position que j’adopte le plus souvent pour lui faciliter la chose.
Accroupie, cuisses largement écartées, les mains écartant mes fesses pour m’ouvrir à lui de mon mieux
La douleur ressentie est d’autant plus violente au début que la taille de son membre est conséquente.
Et qu’il est depuis toujours adepte de la pénétration à sec.
Ni lui ni moi n’aimons les lubrifiants autres que « naturels », la mouille de son gland, s’il en demeure après que j’y ai goûté ou ma salive sur sa queue.
Ce doit être notre côté écolo 😀.
Désolée, Madame Rousseau.
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Cette douleur initiale, j’ai appris à l’aimer.
Cet instant où je lui présente mes reins,
où il m’agrippe par les épaules,
et se colle à moi
pour me pénétrer en force.
Ensuite, une fois le passage forcé, la douleur s’estompe,
pour laisser place à un sentiment de plénitude,
qui me fait vibrer à l’unisson de son membre viril,
puisque nos corps alors ne font plus qu’un.
Lui, en moi, moi possédée par lui.
C’est toujours l'homme qui décide, qui contrôle le rythme.
Alors, souvent, il choisit de ressortir de moi,
pour éviter de jouir trop vite.
Avant d'y revenir ensuite,
quand son désir s’est quelque peu calmé,
mais à chaque fois plus profond, plus loin.
Jusqu’au moment où il ne peut plus se retenir
que survient l’explosion finale,
qui le laisse épuisé,
et qu’il s’effondre sur moi,
m’écrasant sous le poids de son corps.
En restant ainsi, en moi,
désormais remplie de lui,
jusqu’à ce que sa queue perde sa raideur précédente.
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Alors tant pis pour les moralistes et les néo-féministes.
L'usage que mon Maître fait de mon corps ne regarde que nous.
Et je n'ai rien contre les postures "contre-nature".
Mais si "c'est par la femme que le péché a commencé et c’est à cause d’elle que tous nous mourons » (L'Ecclésiaste, siracide 25/23), je n'ai pas l'intention de l'en faire mourir :smile:.
Parce que pour mon plaisir et pour moi, j’ai besoin de lui.
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Pour certains, le bdsm n’a rien à voir le sexe.
Pire, les deux seraient antinomiques.
Mais les règles, les codes, les normes n’ont jamais été mon truc.
Et je ne conçois pas la relation à mon Maître sans le sexe.
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N’en déplaise à Freud, je n’ai jamais vécu comme un traumatisme de n’avoir pas de queue.
J’aime me savoir avec une bouche, un cul, une chatte.
Tous ces orifices qui constituent « son » territoire,
comme autant de compléments indispensables à ce que lui a entre les jambes.
Cet instrument dont je ne pourrais me passer
puisqu’il lui sert à me prendre, me posséder, me faire vibrer.
Tout en jouissant de moi.
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Oui, j’aime le cul, me faire baiser.
Ce moment que je vis comme l’aboutissement, le final échevelé de nos séances, du feu d’artifice de gestes, mots, sensations et sentiments qui a précédé.
Quand l’excitation, la tension accumulée, la mienne, la sienne doivent trouver leur exutoire.
Qui passe par moi et le jaillissement de son foutre.
En moi.
J’aime le moment où son plaisir se manifeste physiquement.
Cet instant qui me prouve que j’ai été à la hauteur de ce qu'il est en droit d'attendre de moi.
Quand le plaisir, chez lui, chez moi, atteint son paroxysme.
Et où je me sens pleinement à lui puisqu’il est en moi pour se répandre en moi.
Faisant de son plaisir, de sa semence, de ce concentré de lui une partie de moi.
Et puis j’aime aussi le temps qui suit.
Quand il s’effondre sur moi,
Épuisé, vidé, libéré de toute sa tension accumulée.
Pour me laisser m’occuper autrement de sa queue désormais au repos.
L’embrasser, la lécher, recueillir sur elle les dernières goutes de son plaisir.
Avant que des échanges plus tendres ne prennent le relais.
Ses mots, les miens.
Et que je m’endors dans ses bras.
Ou lui dans les miens.
A moins que son désir ne renaisse
et que tout recommence :smile:
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Alors, oui, définitivement, j’aime le cul et me faire baiser.
Et j’en ai besoin.
Peu importe lequel de mes orifices il décidera d’utiliser.
L’un ou l’autre, l’un puis un autre ou les autres, dans l’ordre qu’il voudra.
En fonction du moment, de son envie, du sens qu’il veut donner à son acte.
Puisque c’est lui qui décide.
Puisqu’il est mon Maître.
Et que tous lui appartiennent.
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